• • • HISTOIRE =
Le don et le droit d'octroyer la vie n'aurait jamais dû être délivré à ces deux jeunes adolescents. Les parents de Umayn n'atteignaient même pas leurs majorités quand ils offrirent la vie à ces fragiles enfants, des jumeaux, un garçons et une fille. Née prématurément, l'enfant que l'on prénomma Marie Umayn Penelope, dû se faire nourrir artificiellement pendant quelques jours, mais rien de dramatique, tout comme son frère. Trop jeune et idiot pour s'occuper d'un bébé, la mère ainsi que le père de Umayn dû confier les deux enfants à leurs grand-mère maternelle. Le meilleur choix de leurs vies sûrement. Cette grand-mère était en moyen d'élever une enfant. Elle possédait la santé, la gentillesse et surtout l'argent.

L'enfance est la période la plus agréable à vivre. Pas de choix déchirant à faire, pas de jugement à poser et non plus de réputation à tenir. L'amusement est le seul centre d'intérêt pour un enfant. Pour Umayn ce fût la même procédure. À cette époque, jamais elle n'a jugé une personne. Se faire des amis était sympathique et plus facile qu'aujourd'hui. C'est à cette époque qu'une amitié des plus solide ce construisit. Umayn fit la connaissance d'un petit garçon et d'une petite fille des plus adorables à cette époque. Seulement quelques temps après leurs connaissances, les trois enfants sont devenus inséparable. Le trio n'étaient que trois enfants, riche, vivant dans l'upper east side qui ensemble, étaient pour une fois normal. Sans artifices, seulement comme des enfants normaux.

Mains dans la main, trois enfants nerveux entraient pour la première fois à la petite école. La peur aux ventre, un traque hors du communs, ils se comptaient chanceux, car ils étaient ensemble pour survivre à cette épreuve. Cette épreuve les lia d'amitié encore plus solide, ils étaient vraiment inséparable. Ce n'est que vers l'âge de dix-sept ans que tout se gatta, Umayn, trop prise par les fêtes, la drogue et donc la débauche, ce sépara de ses amis pour vivre en solitaire. Aujourd'hui, Umayn est toujours avec son frère qui est comme elle, mais en moin pire. Ils onts vécu tout sorte de situation ensemble et ont voit bien qu'ils sont vraiment là un pour l'autre.
• • • CARACTÈRE =
Un caractère de feu à ce que dit la majorité des gens qui ce son risqué à me parler. On me décrit de bizarre, les gens ont peur de la différence je crois bien, pour plusieurs, il faut tous être pareil et entrer dans le moule, mais soyez certain, je ne renterais jamais dans le moule, je ne deviendrais jamais comme tout le monde, je ne deviendrais jamais la descrïption d'une fille parfaite. Je ne suis pas le genre de fille à bavasser tout le temps et à adorer le shopping au contraire, je déteste le shopping, je ne comprends pas pourquoi je suis aussi différente des autres, mais j'aime mieux être comme je suis que comme elles. Peut être que pour certains parlers quelquefois à la troisième personne est est totalement saugrenu, mais pour moi, c'est presque devenu un quotidien, parler à la troisième personne me fait souvent dire ce que je suis incapable de communiquer, ça m'aide à m'ouvrir moindrement aux autres si on peut dire, je sais que ce n'est pas commun mais c'est ma manière de voir les choses. Dans la vie il y a bien des choses que je ne comprends pas et le fait de parler de ses sentiments aux autres fait partie des choses que je ne comprends pas, pour moi, les sentiments sont des choses personnelles que personne n'a besoin de savoir, voilà pourquoi je n'en montre pas souvent. Depuis que j'ai dix ans, jamais je n'ais pleuré devant des personnes et on peut sûrement compté sur les doigts d'une main les seules fois où j'ai pleuré tout court, je suis torturé par des sentiments négatifs, mais je n'en fais pas l'étalage, pas comme certain. Je ne parle pas beaucoup c'est vrai mais j'aime mieux garder ma salive pour dire des choses penser et non des paroles en l'air sauf quand il faut que je dise à quelqu'un de me foutre la paix, ça je ne me gêne pas pour le dire. Souvent, quand je décide de parler, ma franchise en surprend plus d'un car quelquefois c'est plutôt direct, je ne sais pas mentir et je ne tiens pas à mentir non plus, le mensonge n'est qu'une raison de ne pas affronter la réalité et je suis opposé à cette raison, la réalité c'est la vie et un jour ou l'autre, il va falloir l'affrontez, le mensonge ne fait que retarder l'inévitable. Ne croyez pas que j'ignore ce que vous dites sur moi dans mon dos seulement parce que je n'en fais pas allusion, je sais ce que vous dites, mais je me fiche de ce que vous pensez et puis tout le monde à ses opinons et vous croyez quand même pas que je n'ais pas d'opinons sur vous, car même si vous ne l'avez pas remarqué, je vous ais sûrement observer et souvent si facilement bien cerné. Je suis plutôt morose je l'avoue, mais je n'ais pas toujours été ainsi, avant quand mon frère était encore de ce monde j'étais une jeune femme heureuse, j'avais toujours ou presque le sourire aux lèvres tandis qu'aujourd'hui, je ne souris que quand je vois mon meilleur ami, c'est une habitude je ne m'en rends même pas compte croyez-moi. Je ne tolère pas de devoir parler de moi, m'ouvrir n'est pas mon fort et je n'aime pas que les gens sache trop de choses sur moi. Tout le monde a besoin d'un moyen d'expression et pour moi, c'est le dessin, il n'y a qu'en dessinant que je me défoule et plusieurs de mes dessins son le reflet de mes sentiments alors je ne les montre pas. Je crois bien être une jeune femme très patiente, souvent je peux rester longtemps à fixer le vide sans rien faire et sans bouger, je ne fais que pensé. Je suis une fille superstitieuse et oui, je ne passe jamais sous une échelle et encore moins je touche un chat noir un vendredi treize, je sais que c'est stupide, mais je ne peux pas m'empêcher. Je ne me décris pas vraiment comme une jeune femme sociable, je suis plutôt misanthrope, c'est vrai je n'aime pas beaucoup la compagnie des autres, j'aime mieux être seul et ne pas avoir à tolérer des bavardages inutiles et qui mène à absolument rien voilà tout. Je suis plutôt maladroite je l'avoue, mais dans mon cas, c'est presque qu'exagéré, je trébuche tout le temps et souvent je me fais mal en plus. Je ne suis pas du tout le genre de personne à aimer aller en boite de nuit, je déteste les lieux trop peuplé, à chaque fois, j'ai l'impression que je suffoque, je fais une crise d'angoisse et oui, moi, Dany Aimée Strustle je souffre d'agoraphobie. À cause de cette phobie, je me suis déjà enfermé chez moi pendant deux mois, voilà pourquoi j'ai redoublé une année scolaire. Malgrés ce caractère dégueu, j'ai l'habitude de me comporter parfois comme une enfant, aucune idée pourquoi
• • • RELATION AVEC LES AUTRES = *Facultatif